Qu’il survienne de façon inattendue ou après une longue maladie, le décès d’un proche est toujours un choc pour sa famille.
En plus du chagrin, la famille doit effectuer de nombreuses démarches, et ce dans un laps de temps très court. Bien souvent, elle se retrouve confrontée à des difficultés, notamment d’ordre financier.
En effet, durant l’année qui suit le décès, les charges du foyer restent les mêmes : logement, factures… Le salaire du conjoint survivant peut parfois suffire à régler les charges du foyer, mais ce n’est malheureusement pas toujours le cas. Le conjoint survivant connaîtra alors des difficultés économiques. Certains choix seront à faire comme par exemple vendre le logement et déménager. Si aucune disposition n’a été prise pour faire face au décès, le niveau de vie du foyer risque d’être diminué.
En France, le prix moyen d’une inhumation est de 3 815 € (hors marbrerie), contre 3 986 € pour une crémation(1). En général, on estime que le conjoint survivant devrait pouvoir disposer d’un capital équivalent à 3 années de salaire pour s’acquitter tout d’abord des frais d’obsèques puis des charges du foyer et des frais relatifs à l’éducation des enfants.
Outre les charges, en cas de décès prématuré de l’un des parents, c’est bien souvent l’avenir des enfants qui pose question. Pourront-ils poursuivre leur scolarité, envisager des études supérieures ? Aujourd’hui en France, après avoir perçu l’ensemble des aides (bourses, APL…), le reste à charge mensuel d’un étudiant non boursier est de 912,68 €(2).
Quand le foyer dispose d’économies, il peut faire face un moment. Mais qu’en est-il pour les jeunes familles ? Pourront-elles se constituer une épargne suffisamment importante pour compenser une baisse de revenus aussi longue ?
L’assurance décès reste la meilleure solution pour se préserver financièrement en cas de décès prématuré d’un des conjoints. Le montant des cotisations est calculé en fonction de l’âge et du capital décès choisi. Il évolue chaque année en fonction de ces mêmes critères. Plus l’assuré est jeune, moins les cotisations seront importantes. C’est une solution accessible et qui permet d’anticiper la protection financière de sa famille.